Les réglages de prise de vue Prendre des photos
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Retardateur
Le retardateur de la DxO ONE vous permet de régler l’appareil photo pour prendre une photo 2 ou 10 secondes après avoir appuyé sur le déclencheur. Le réglage « 2 secondes » est utile pour éviter les risques de flou de bougé avec des vitesses lentes, lorsque l’appareil est monté sur pied, par exemple. Le réglage « 10 secondes » est utile pour les photos de groupes, lorsque vous souhaitez également être sur la photo.
Appuyez sur l’icône Paramètres de capture, en haut à droite de l’écran.
Dans les Paramètres de prise de vue, 1ère ligne, appuyez sur l’icône Retard. 2 s ou Retard. 10 s.
Le compte à rebours sélectionné débute et s’affiche sur l’écran de l’iPhone.
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Flash
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Sans flash : le flash est désactivé.
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Flash auto : le flash est émis automatiquement si les conditions d’éclairage l’exigent.
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Flash activé : le flash est émis à chaque déclenchement.
Dans les modes Flash auto ou activé, une icône de rappel s’affiche dans l’écran de visée, à droite. Appuyer sur cette icône vous permet de la faire disparaître et de revenir au mode par défaut (« sans flash »).
Les iPads n’ont pas de flash intégré, c’est pourquoi il n’y a pas de fonction flash pour la DxO ONE lorsqu’elle est utilisée avec un iPad.
Le flash est présent sur les iPhone. Assurez-vous de ne pas masquer le flash avec vos doigts lorsque vous tenez l’iPhone. Pour s’assurer que le flash éclaire correctement le sujet, la DxO ONE ne doit pas être tournée (par rapport à l’iPhone) avec le flash activé.
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Compensation d’exposition
La compensation d’exposition est accessible dans tous les modes sauf le mode Manuel (M). Elle permet d’assombrir ou d’éclaircir une photo à la volée, et elle modifie pour cela les paramètres d’exposition sur lesquels l’appareil est autorisé à agir (vitesse et sensibilité en mode A, ouverture et sensibilité en mode S, tous les paramètres dans les autres modes).
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Réglage des modes avancés
Dans les modes avancés (P, A, S et M), en plus de la compensation d’exposition, le panneau de réglages s’enrichit d’un certain nombre de paramètres inaccessibles avec les modes scène :
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Les paramètres d’exposition, qui influent les uns sur les autres: vitesse, ouverture et sensibilité.
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Les modes de mesure, c’est-à-dire la manière dont la DxO ONE mesure la lumière.
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Les modes de mise au point, permettant d’obtenir une image nette.
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La balance des blancs, pour obtenir une image dont le rendu et les couleurs restent naturels, quels que soient l’illuminant ou la source d’éclairage de la scène.
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Triangle d’exposition
En photographie, l’exposition désigne la luminosité d’une photo : une photo bien exposée n’est ni trop sombre, ni trop claire. Une photo trop claire est dite « surexposée », une photo trop sombre « sous-exposée ».
L’exposition se contrôle à l’aide de trois paramètres : ouverture, vitesse d’obturation et sensibilité ISO. Ces trois paramètres forment ce que l’on appelle le triangle d’exposition, chaque réglage influant sur la quantité de lumière captée par l’appareil. Chacun influence également d’autres aspects de l’image : profondeur de champ, flou dynamique, bruit numérique…
Choisir la bonne valeur pour chacun des trois paramètres d’exposition est une opération complexe, car elle nécessite de prendre en compte de nombreux facteurs : la luminosité ambiante, la profondeur de champ souhaitée, le mouvement de la scène et du photographe et le niveau de flou souhaité, le niveau de bruit numérique, etc…
En mode Auto (voir section « Les modes Scene ») et dans les modes scène (section « Les modes Scene »), votre DxO ONE détermine automatiquement le bon triangle d’exposition et vous épargne les calculs nécessaires pour choisir les bons paramètres.
En mode P (section « Les modes avancés » ), votre DxO ONE peut déterminer automatiquement le bon triangle d’exposition, mais vous pouvez également imposer la sensibilité ISO de votre choix et choisir entre différents couples ouverture / vitesse.
Dans les modes semi-automatiques (A et S), la DxO ONE vous donne la main sur un paramètre supplémentaire (l’ouverture en mode A, la vitesse en mode S) et calcule automatiquement la bonne valeur pour les paramètres restants.
En mode Manuel (M), vous avez la main sur l’intégralité des paramètres d’exposition, mais vous pouvez si vous le souhaitez laisser votre DxO ONE sélectionner la sensibilité ISO adaptée à vos réglages d’ouverture et de vitesse.
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L’ouverture
Accessible en mode A et en mode M (section « Les modes avancés » ), l’ouverture du diaphragme permet de contrôler la profondeur de champ et de doser la quantité de lumière entrant dans l’appareil.
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En ouvrant le diaphragme (petites valeurs, par exemple ƒ/1.8), vous diminuez la profondeur de champ. Lorsque vous faites un portrait, cela vous permet de détacher le sujet grâce à un agréable flou d’arrière-plan (ce qu’on appelle également le bokeh) comme sur la photo de gauche. Vous ferez également entrer plus de lumière, ce qui permet d’augmenter la vitesse d’obturation pour limiter le flou de mouvement ou de réduire la sensibilité ISO pour contrôler le bruit numérique.
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En fermant le diaphragme (grande valeur, par exemple ƒ/11), vous augmentez la profondeur de champ et, par conséquent, vous étendez la netteté dans les différents plans de l’image, comme sur la photo de droite. En revanche, il y aura moins de lumière sur le capteur, ce qui va réduire la vitesse d’obturation (augmenter le temps de pose) ou accroître la sensibilité ISO (et le bruit numérique).
À moins de vouloir atteindre des vitesses très lentes ou d’avoir des besoins particuliers en termes de profondeur de champ (photo macro…), évitez de fermer le diaphragme au-delà de ƒ/5.6. Aux petites ouvertures, en raison du phénomène de diffraction qui disperse les rayons lumineux, la netteté et donc la qualité de l’image se dégradent.
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La vitesse
Accessible en mode S et en mode M (section « Les modes avancés » ), le réglage du temps de pose permet de gérer le mouvement et de doser la quantité de lumière captée par la DxO ONE.
Pour figer le mouvement, choisissez des vitesses supérieures à 1/60s (1/125s, 1/250s, etc.) ; pour des mouvements très rapides comme les projections d’eau de cette cascade, des vitesses supérieures à 1/2000s sont utiles. Dans ce cas, en raccourcissant le temps d’exposition, l’appareil capte moins de lumière, ce qui peut être compensé soit en ouvrant le diaphragme, soit en augmentant la sensibilité ISO, soit les deux. Cette compensation se fera automatiquement en mode S, et devra être faite manuellement en mode M.
Des vitesses plus lentes (1/15s, 1/8s, etc.) permettent au contraire au mouvement d’apparaître sur l’image sous forme de flou dynamique. Cependant, en dessous de 1/30s (1/15s, 1/8s, etc.), vous risquez le flou de bougé si vous photographiez à main levée. L’allongement du temps de pose augmente la quantité de lumière capturée par l’appareil, ce qui peut être compensé par une ouverture ou une sensibilité ISO plus réduites.
Lorsque la lumière ambiante est forte, une vitesse lente peut entraîner une surexposition même à l’ouverture et à la sensibilité minimales. Pour réaliser des photos montrant un flou dynamique en plein jour, des filtres peuvent être ajoutés afin de diminuer la quantité de lumière pénétrant dans l’appareil.
En éclairage artificiel, certaines vitesses peuvent générer des bandes de couleurs. En mode S et en mode M, une alerte apparaît en haut de l’écran pour vous inviter à choisir une vitesse évitant ce phénomène. Dans les autres modes, la DxO ONE choisit automatiquement (dans la mesure du possible) une vitesse évitant le phénomène. Dans les pays où le secteur est à 50 Hz (notamment en Europe), les vitesses compatibles sont 1/100s, 1/50s, puis toutes les vitesses plus lentes que 1/30s (1/25s, 1/20s etc.). Pour les pays qui fonctionnent en 60 Hz (les États-Unis notamment), les vitesses compatibles sont 1/125s, 1/60s, puis toutes les vitesses plus lentes que 1/40s.
À vitesse lente, il est conseillé de déclencher avec le bouton sur l’écran car il génère moins de vibrations que le déclencheur de la DxO ONE. L’utilisation du retardateur 2s permet aussi de limiter les risques de vibrations.
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La sensibilité ISO
Dans les quatre modes P, A, S et M (section « Les modes avancés »), vous pouvez régler la sensibilité ISO de votre photo par ce menu :
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Soit en sélectionnant le mode sensibilité Auto, qui choisira automatiquement une sensibilité en fonction de la luminosité de la scène. Cette sensibilité peut être limitée via l’option « Valeur d’ISO maximale » (voir la section « Paramètres de prise de vue » pour plus de détails) afin de limiter la dégradation de la qualité d’image. Vous pouvez par exemple limiter la sensibilité maximale automatique à 3 200 ISO.
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Soit en sélectionnant une sensibilité manuelle. Dans ce cas, la photo sera capturée avec la sensibilité choisie (même si celle-ci est au-delà de la « Valeur d’ISO
En mode automatique comme en sélection manuelle, la plage de sensibilité s’étend de 100 ISO à 25 600 ISO (Hi1) et 51 200 ISO (Hi2).
Une sensibilité ISO élevée (1600 ISO, 3200 ISO, etc.) permet d’obtenir une exposition satisfaisante même lorsque l’appareil ne capte que peu de lumière. Elle est donc utile le soir venu ou en intérieur, mais également pour utiliser une faible ouverture (profondeur de champ élevée) ou une vitesse d’obturation élevée (mouvement figé).
Les sensibilités les plus élevées entraînent l’apparition de bruit numérique, des points visibles dans l’image. Pour une qualité optimale, utilisez donc dans la mesure du possible des sensibilités ISO limitées (200 ISO, 400 ISO).
Lors de l’utilisation des sensibilités étendues (Hi1 et Hi2), seuls les fichiers RAW et SuperRAW seront effectivement exposés à la sensibilité demandée. Les fichiers JPEG, utilisés notamment pour la prévisualisation sur l’iPhone, sont limités à 12 800 ISO ; ils apparaîtront donc plus sombres que ce que vous pourriez attendre.
Afin de limiter l’apparition de bruit numérique, nous vous conseillons fortement d’utiliser le format SuperRAW pour les prises de vue à ces sensibilités étendues, et de traiter le fichier SuperRAW avec un logiciel DxO pour ordinateur de bureau. Pour plus d’informations sur le format SuperRAW, consultez la section « Format de fichier et gestion des RAW » .
Si vous choisissez une sensibilité basse, il est possible que l’exposition d’une scène sombre ne soit pas correcte. Il est conseillé dans les modes P, A, S d’afficher les paramètres avancés sur l’écran pour permettre de visualiser l’indicateur d’exposition (voir la section « Paramètres de prise de vue » pour plus de détails sur l’affichage des paramètres avancés).
Les automatismes peuvent altérer légèrement la sensibilité de la photo pour éviter la capture du scintillement des éclairages. Par exemple, la photo pourrait être prise à 320 ISO, alors que vous avez demandé 400 ISO. Mais, en général, la valeur de la sensibilité ISO retenue restera au plus proche de la sensibilité demandée, pour ne pas affecter la qualité de l’image avec du bruit numérique.
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Mesure d’exposition
La DxO ONE dispose de trois modes de mesure de la lumière, chacune étant adaptée à des situations particulières. Vous pouvez également donner la priorité de la mesure de lumière à un élément particulier de la scène en tapant dessus avec le doigt.
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Mesure matricielle: c’est le mode par défaut. La DxO ONE analyse la scène et mesure les niveaux de luminosité des différentes zones, avant de les pondérer et de calculer les paramètres d’exposition appropriés. La mesure matricielle tient également compte de la présence de visages, en les privilégiant par rapport à l’arrière-plan. Par contre, en tapant sur une zone ou un élément de la scène, celui-ci devient prépondérant pour la mesure de l’exposition. -
Mesure centrée pondérée: la mesure s’effectue sur toute la scène, mais avec une prépondérance de la zone centrale. Dans ce mode, la présence de visages n’est pas prise en compte et ne modifie pas l’exposition. -
Mesure spot: la mesure d’exposition s’effectue uniquement dans une zone restreinte couvrant environ 6% de l’image, et matérialisée par un pavé. Vous pouvez déplacer ce pavé en tapant sur un point de l’image. Dans ce cas, la mise au point s’effectue aussi à cet endroit.
En tapant sur un élément de l’image, la mesure de l’exposition devient prépondérante, c’est-à-dire qu’elle s’adapte à l’élément sélectionné, et le reste de la scène devient plus sombre ou plus clair. Dans ce cas, vous pouvez utiliser le compensateur d’exposition pour ajuster la luminosité du reste de l’image :
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Personne à contre-jour : en tapant sur le sujet, la personne sera éclaircie pour être correctement exposée, mais l’arrière-plan sera trop lumineux. Dans ce cas, sous-exposez légèrement l’image avec le compensateur d’exposition réglé sur une valeur négative.
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Paysage : si vous privilégiez le ciel, le sol sera trop sombre. Ajustez le compensateur d’exposition avec une valeur positive, en essayant de trouver le meilleur compromis entre luminosité du sol et luminosité du ciel.
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Balance des blancs
La balance des blancs permet de compenser une dominante colorée générée par une source d’éclairage, par exemple un rendu froid et bleuté à l’ombre, ou un rendu excessivement chaud et orangé sous une lampe au tungstène. Cette compensation permet de redonner un aspect et des couleurs plus naturelles à l’image.
Par défaut, la balance des blancs est en mode automatique, mais vous pouvez sélectionner un autre préréglage dans la barre d’outils à gauche, en tapant sur AWB, puis en faisant défiler les options.
Les différents modes de balance des blancs sont :
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AWB (Auto White Balance): balance des blancs automatique, s’adaptant à la source d’éclairage ou à l’illuminant de la scène.
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Incandescent: pour les éclairages de type tungstène ou halogène. Compense une dominante chaude jaune/orangée.
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Fluorescent: pour les éclairages de type néon ou tubes fluorescents. Compense une dominante verte.
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Lumière du jour: pour les scènes éclairées par le soleil. Compense une dominante chaude.
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Nuageux: pour les scènes éclairées par un ciel couvert. Compense une dominante froide.
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Ombre: pour les sujets placés à l’ombre. Compense une dominante froide tirant sur le bleu.
La balance des blancs est appliquée à tous les types de fichiers de la DxO ONE :
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DNG (RAW et SuperRAW) : la balance des blancs est appliquée et renseignée dans les métadonnées de l’image, ce qui permet aux logiciels de traitement d’image d’interpréter et d’afficher correctement la correction. Dans ce cas, la balance des blancs est réversible et, donc, peut être librement modifiée, et le préréglage choisi à la prise de vue peut être remplacé par un autre en postproduction.
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JPEG et vidéo : la balance des blancs est appliquée de manière irréversible. Les logiciels de traitement d’images permettront de faire une correction limitée de la balance des blancs, mais elle ne pourra pas être complètement modifiée ou remplacée par un autre réglage.
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